Ce document de Kimberley Process Civil Society Coalition met en lumière certaines questions d'éthique les plus largement signalées qui ont continué à se poser dans certaines localités minières de diamants dans des pays comme l'Angola, le Zimbabwe, le Venezuela, la Tanzanie, le Lesotho et la Sierra Leone. Il décrit des cas individuels de problèmes publiquement signalés qui vont des dommages à l'environnement et de la corruption à la prédation militaire et à la violence grave perpétrée par les forces de sécurité publiques ou privées. En annexe, il fournit une compilation de la façon dont certaines entreprises répondent à ces questions. Selon le document, les diamants impliqués dans toutes les autres questions liées aux conflits continuent d'affluer sur le marché international en grande partie sans contrôle. Pire encore, le Processus de Kimberley certifie des diamants comme « sans conflit », ce qui pourrait aider à blanchir ces pierres vis-à-vis des consommateurs de bijoux à leur insu qui dépendent de l'assurance KP.