Dans cette analyse, les acteurs de la société civile du Sud-Kivu identifient les principaux problèmes contenus dans le rapport qui, selon eux, entravent encore la transparence du secteur minier en République Démocratique du Congo. Il s'agit notamment de: 

• L’absence de déclaration de vrais paiements sociaux ;
• La déclaration de deux flux payés inadéquatement par Namoya Mining Sarl à la Direction de Recettes du Katanga (DRKAT);
•  La difficulté de compréhension des montants des écarts ;
• Le caractère moins rigoureux des critères de fiabilité définis par le Comité Exécutif ;
• La non-intégration dans le rapport ITIE-RDC 2012 de la valeur du revenu du secteur extractif par rapport au budget de l’Etat ;
• L’absence de déclaration exhaustive sur les transferts infranationaux effectués en 2012 entre le Gouvernement central et les Provinces ;
• La difficulté de déterminer les phases opérationnelles des entreprises du périmètre 2012.

Ils proposent également des pistes de solution pour l'amélioration du processus.